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Faire du bénévolat
Morane Leclerc, 5e secondaire, Lac-Drolet
Le bénévolat est-il encore d’actualité? Je crois que de nos jours les gens ne font rien en échange de rien. Le bénévolat est un geste libre parce qu’il est posé selon les propres choix de la personne bénévole, c’est quelqu’un qui rend un service, en réponse à un besoin de la communauté ou à une motivation qui lui est propre, et ce, sans attendre en retour une rétribution monétaire. Cette personne peut être un adulte, un adolescent ou un jeune.
Mais de nos jours, les gens ne rendent plus de services sans attendre quelque chose en retour. Tout tourne autour de l’argent, de nos jours rien n’est gratuit comme on dit! Pourtant, tout le monde aime se faire aider et ne
rien demander en retour. Alors pourquoi demandons-nous toujours quelque chose
en retour?
Quand j’étais jeune, j’ai fait du bénévolat, je me suis portée volontaire pour faire la caisse populaire à mon école. Avec une de mes anciennes amies, nous ramassions l’argent des élèves et nous allions ensuite la porter à la caisse. Nous ne demandions rien en échange. J’ai aussi fait une vente de hot-dogs pour mon école primaire et l’argent que nous amassions allait pour l’école. Encore une fois, je m’occupais de la caisse, ça me pratiquait à compter rapidement et ça me faisait connaitre de nouvelles personnes, car comme je m’occupais
de la caisse, c’est moi qui leur parlais.
Ce que j’aime du bénévolat c’est qu’à la fin, tout le monde est content. Le simple fait de voir les gens heureux et de rendre un service à quelqu’un, c’est gratifiant. J’ai aimé mon
expérience de bénévolat et tout le monde devrait en faire. Tout le monde devrait aider son prochain sans rien demander en échange, car
nous aimons tous nous faire aider.
Les paniers de Noël
Ann-Sarah Richard, 5e secondaire, Lambton
L’année 2020 allait être ma neuvième année en tant que bénévole à la Guignolée. Comme nous le savons, la pandémie a frappé et nous n’avons pas pu nous présenter aux maisons pour amasser des dons. Par contre, nous avons eu la possibilité d’apporter nos
sacs de denrées à l’école. Par la suite, tous les étudiants ont parrainé une famille. Les élèves de première et deuxième secondaire
ont écrit des lettres et ceux de troisième, quatrième et cinquième secondaire avaient pour mission de trouver des livres pour une famille anonyme. Nous ne connaissions que l’âge des membres de celle-ci. Personnellement, j’ai adoré mon expérience. J’ai parrainé deux familles en plus de faire un don de denrées. Ce n’était pas comme mes autres expériences, mais j’ai trouvé celle-ci très intéressanteetc’estunebelle alternative pour les personnes seules et dans le
besoin.Malgrélasituation
que nous vivons, l’entraide est toujours présente et permet de soutenir et de rendre les gens heureux. À la polyvalente, nous avons amassé 500 sacs et 150 cartes de Noël et livres.
À lire aussi sur le web dans la catégorie OPINIONS ET SENSIBILISATION les textes de Béatrice Beaulé, Maxime Jobidon, Thaly Couture, Océane Plante-Lavallée et plusieurs autres!
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Secondaire-Passions, loisirs, voyages ZIGZAG La voix des jeunes de la MRC du Granit